Circumcision may provide even more protection against AIDS than was realized when two clinical trials in Africa were stopped two months ago because the results were so clear, according to studies being published today. The trials, in Kenya
and Uganda, were stopped early by the National Institutes of Health, which was paying for them, because it was apparent that circumcision reduced a man’s risk of contracting AIDS from heterosexual sex by about half. It would have been unethical to continue without offering circumcision to all 8,000 men in the trials, federal health officials said.
That decision, announced on Dec. 13, made headlines around the world and led the two largest funds for fighting AIDS to say they would consider paying for circumcisions in high-risk countries. But the final data from the trials, to be published today in the British medical journal The Lancet, suggest that circumcision reduces a man’s risk by as much as 65 percent.
(...)
“Look,” he added. “This is a one-time, permanent intervention that’s safe when done under the appropriate medical conditions. If we had an AIDS vaccine that was performing as well as this, it would be the talk of the town.”
He said President Bush’s $15 billion AIDS initiative and the World Health Organization were considering paying for circumcisions in high-risk countries, but must work out what training and equipment they would require circumcisers to have.
De deux :
A) La fonction de paragraphes de Blogger fonctionne vraiment tout croche.
B) Des questions éthiques incroyablement intéressantes vont apparaître suite à cette étude : peut-on moralement circoncire des populations entières pour leur propre bien ? Comment appliquer une telle découverte sans redonner des arguments (boîteux, mais arguments tout de même) aux partisans de l'excision ? Jusqu'où avons-nous le droit d'aller dans la modification du corps d'autrui pour le protéger ?
1 comment:
Bah sais-tu, fouille-moi quant à savoir jusqu'à quel point la circoncision peut "modifier" le corps, c'est pas moi l'expert ici... =P
Mais j'ai un peu de rhétorique de cuisine par rapport à la transmission du SIDA que je peux partager : 1) D'abord, c'est certain que je coucherais pas avec quelqu'un que je sais avoir le virus; ou quelqu'un que je sais être à risque...
2) Mais, si la personne l'avait et que je le savais pas (ET QUE j'étais circoncis), puis que je venais à coucher avec éventuellement, je l'attraperais fort probablement d'une manière ou d'une autre parce que ça deviendrait une partenaire régulière. Enfin, ça aurait de bonnes chances de le devenir.
P-e tordu un peu et ça résiste pas au test "appliquer au mode de vie du monde entier", mais... dans une perspective de cas par cas, c'est ce que ça donnerait pour moi (et probablement au moins quelques autres).
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